L'Azerbaïdjan a intentionnellement causé des souffrances mentales aux mères, aux sœurs et aux autres membres des familles des soldats arméniens. Notre nouveau rapport factuel sur ces questions. Nous exprimons notre gratitude aux familles des soldats arméniens pour leur soutien.
Au cours des guerres de 44 jours provoquées par l'Azerbaïdjan en 2020 et des 13 et 14 septembre 2022 contre l'Arménie et l'Artsakh, les forces armées azerbaïdjanaises ont commis de nombreux crimes de guerre, notamment la torture de prisonniers de guerre et de civils, en plus des exécutions extrajudiciaires. La base de ces actes criminels de l'Azerbaïdjan est la politique fasciste persistante d'arménophobie et l'animosité des autorités de ce pays.
L’Azerbaïdjan ne restitue pas jousqu'aujourd’hui les prisonniers de guerre et les civils arméniens par des poursuites pénales artificielles et des actes judiciaires fallacieux,. De cette manière, les autorités azerbaïdjanaises provoquent délibérément des souffrances mentales aux familles arméniennes en Artsakh et en Arménie.
Ce rapport examine et fournit une évaluation juridique de ces actes criminels commis par l'Azerbaïdjan. Par exemple, les militaires azerbaïdjanais ont entravé les opérations de recherche, cachent et ne restituent pas les corps des militaires, etc. Les comptes d'utilisateurs azerbaïdjanais, ciblant le public arménien, diffusent et envoient directement aux familles les photos par Facebook, Twitter, TikTok et les autres réseaux sociaux. des militaires tués et torturés et de leurs familles.
Des études confirment que les crimes mentionnés sont encouragés par les autorités azerbaïdjanaises. Ils visent à causer de graves souffrances mentales aux familles et à maintenir les tensions dans la société arménienne. La préparation de ce rapport comprenait également des entretiens avec des membres des familles des militaires et une analyse des documents pertinents.
Nous exprimons notre gratitude aux familles des militaires pour leur soutien dans la préparation du rapport. Ce rapport a été élaboré par la Fondation « Tatoyan » Centre pour le droit et la justice, à laquelle ont directement participé les avocats américains Garo Ghazarian et Karnik Kerkonian.